Miach quitta la salle de classe en fulminant. Dernier cours de la journée. Déception. Colère. Miach n’avait pas réussi sa potion aussi bien qu’il l’aurait voulu et, surtout, il l’avait moins bien réussie que cette pimbêche de Lexie Rowle. Il s’en sortait avec un banal Effort Exceptionnel alors qu’elle raflait l’Optimal. Et ça, ça avait le don de le mettre en rage. Fier et arrogant, il passa devant sa rivale sans afficher aucun autre sentiment que son arrogance habituelle. Elle jubilait déjà suffisamment de sa victoire, il ne voulait pas lui offrir le plaisir de sa déception.
La plupart de ses camarades prirent le chemin de la salle commune ou, pour les plus studieux, celui de la bibliothèque. Miach ne les suivit pas. Après une journée entière passée enfermé dans des salles de classe avec d’autres étudiants, il avait besoin de solitude. Il retrouverait la chaleur de sa salle commune après le dîner, sans doute. Et puis, il avait besoin d’oublier l’humiliation dont il venait d’être victime. Pour ça, le meilleur moyen restait encore de se concentrer sur son avenir, sur ce que Lexie Rowle n’aurait jamais … un empire pour lui tout seul, une entreprise prospère, connue dans le monde entier, véritable vitrine de l’ambition, du sérieux et du travail de toute une famille.
Miach s’éloigna donc du troupeau vert et argent, telle une brebis égarée. Il envisagea de se rendre dans le parc. La nuit tomberait bientôt mais le froid avait le mérite de tenir la majorité des élèves à distance. Malheureusement, la neige s’était mise à tomber, recouvrant peu à peu le parc d’une étendue immaculée, rendant toute lecture extérieure impossible. Il ne voulait pas prendre le risque d’abîmer les grimoires prêtés par son grand-père, véritables trésors familiaux, contenant tout ce qu’il y avait à savoir pour qui voulait prendre les rênes de la distillerie Ogden.
Miach envisagea donc de chercher une salle de classe vide, espérant profiter d’une bonne heure de sérénité avant de retrouver l’agitation de la grande salle pour le dîner. Il monta les escaliers, se rendant au deuxième étage où il avait l’habitude de trouver une salle de classe ouverte dans laquelle s’isoler. Il traversa un premier couloir, puis un second, et son regard tomba sur une autre brebis égarée qui arrivait face à lui.
Et, de brebis, il devint loup.
Joshua Puddifoot tombait à pic.
Sa confiance en lui mise à mal par son échec avait besoin d’un petit coup de fouet. S’en prendre à sa victime favorite ne pouvait que gonfler l’orgueil quelque peu essoufflé du fier sang-pur.
Leurs regards se croisèrent.
Peut-être Joshua imagina-t-il que, pour une fois, Miach trouverait mieux à faire que le tourmenter. Peut-être espéra-t-il, un instant, que le serpentard le laisserait passer, sans un geste, sans un mot. Si ce fut le cas, alors son espoir fut de courte durée. Miach était en colère, et il avait besoin de déverser ces sentiments négatifs sur quelqu’un.
Il attendit d’arriver à hauteur de son camarade et, sans prévenir, lui porta un coup d’épaule. Aussitôt, Joshua s’arrêta. Aussitôt, Miach se plaça face à lui.
« Par Diancecht, Puddifoot, tu ne peux pas regarder où tu marches ? » lança-t-il avec hargne.
Il s’avança d’un pas, empiétant clairement sur l’espace vital du Poufsouffle.
« Et bien, souffla-t-il, menaçant, ta moldue de mère ne t’a pas appris à t’excuser ? »
“Weakness” - Tes défaites ne viendront pas de plus forts que toi. Elles te seront infligées par le patient, le bûcheur, le médiocre.
hogwarts ID : hufflepuff, maison des gentils et des fidèles. -- sixième année, plus que deux ans. points : 1598 messages : 252 faceclaim : loïc nottet. multicomptes : n. greengrass. crédits : ava : aftermath, icon : me, sign : soldier eyes.
Ven 19 Juin - 5:45
( weakness )
le sourire illumine les traits de mon visage, et j'en ai parfaitement conscience. les meilleures journées étaient celle qui finissaient par la métamorphose et attendaient que la nuit tombe pour offrir, à ceux qui savent voir, le ciel où brillent les milliards d'étoiles. j'adorais la métamorphose, mais pas pour les bonnes raisons. chaque fois que le cours prenaient fait, j'avais une réelle impatience qui naissait au creux de mon ventre. l'impatience de planer au dessous des étoiles, de m'évader de ce monde où tous semble trouver leur place. sauf moi. peut-être que ma place serait dans ces étoiles ? quelque part entre l'alpha du centaure et la galaxie d'andromède. allez savoir. quoi qu'il en soit, c'est tout heureux que je sors de la salle de classe, les bouquins coincés entre les bras. la plupart de mes camarades s'en retournent à la salle commune ou à d'autres activités. souriant à abraham, je lui assure de le retrouver un peu plus tard. je tiens absolument à relire mon devoir et noter sans doute quelques manquements à mes idées sur l'interprétation du ciel. il comprenait abraham, parce que de tous les cours, c'était le seul duquel on ne pouvait me détourner. alors c'est tout souriant que je décide d'aller à la bibliothèque. lieu d'érudit, mais à en juger par la masse qui s'y amoncelle, je doute que le calme soit réellement de mise, malgré les remontrances de la bibliothécaire et de son assistante. un autre endroit pour perfectionner ses connaissances ? une classe vide. sans nul doute. un moment de solitude, où seul les étoiles pourront combattre les vilaines pensées d'un entremet qui m'ouvre l'appétit comme un diable. quelque part, j'ai hâte de diner également.
bifurquant dans les escaliers pour me retrouver au second étage, je marche le long des couloirs avant de tourner dans l'un et de figer une seconde de surprise. de tous, il est bien le dernier que je souhaite croiser. et évidemment, en six ans, il fallait que ce soit ce jour saint que je le croise seul au milieu d'un couloir désert... la rumeur des conversations vient de plus loin, dans les escaliers, les étages plus bas, de l'extérieur. le cœur, lui, il tambourine de peur. il sait déjà quels malheurs l'attendent... par merlin, ne pouvait-il pas choisir un autre étage ? avec un peu de chance, si j'arrive à me confondre avec les murs du château, il passera son chemin sans même me voir. le regard plonge sur le sol, scrute étrangement les carreaux de pierre, je n'avais jamais remarquer cette forme géométrique sur ce par-terre là. mais l'épaule rencontre la mienne, les lèvres se pincent, les yeux se ferment. le souffle se coupe, la boule au ventre devient indigeste. le regard fuyant tombe dans celui noir du serpent. qu'est-ce que je ne donnerai pas pour qu'abraham soit là... ou callum, même lexie quelque part. non, pas lexie. la faiblesse n'est pas de mise. les mots fusent, blessent... le pardon n'est clairement pas de mise, l'injustice livre la bile à la gorge. « je. » les mots peinent à se frayer un chemin, restent coincés dans la gorge. « tu... c'est, c'est toi qui m'es rentré dedans... » quelque part l'injustice est quand même grande, les mots sont hachés, la voix tremble, mais un minimum de fierté pour un petit canard qui ne peut s'envoler. mais la peur est présente, les mots sont de trop. et je regrette presque même d'exister. callum me le rabâche chaque année... et même si j'essaie, je finis toujours par perdre. « laisse moi passer, s'il-te-plaît. » la pitié dans la voix, la supplique qui vient tordre la voix d'ordinaire si claire, si douce. joshua, tu fais clairement de la peine. mais cette espérance, sans doute vaine, de le voir se retourner et disparaître dans l'obscurité du couloir, est là. peut-être que finalement, il aura pas envie de l'embêter ce jour, que comme lui, c'est un bon jour. merveilleux pour tout passionné. mais ça, je l'ignore... et je vais l'apprendre sans doute à mes dépends. que chaque fois que j'imagine le meilleur, il arrive le pire. parce que c'est risible... je les attire. lui, et ses piques, lui et sa colère... car de mon sang est partagé de celle qu'il considère comme inférieure. et j'ai pas le courage de le contredire, étrangler par la bêtise, la haine et le manque de confiance... j'accumule c'est tout. et j'encaisse, comme chaque jour.
Miach pouvait sentir la peur de Joshua imprégner l’atmosphère. Et il adorait ça. Il en avait presque oublié Lexie Rowle et son talent trop prononcé en potions. Le regard fuyant du Poufsouffle, sa voix qui se brisait, ses épaules basses, tout trahissait sa crainte.
« c'est toi qui m'es rentré dedans... » marmona Joshua, dans une brève tentative pour faire entendre raison à son camarade.
Mais Miach n’avait nulle envie d’entendre raison. Il détestait Joshua Puddifoot, le méprisait au plus haut point. Il aurait pu choisir n’importe quel né-moldu de Poudlard comme souffre-douleur. Pourtant, son choix s’était naturellement porté sur le sang-mêlé. Parce que Joshua aimait bien trop le monde moldu, que son sorcier de père, non content d’épouser une moldue, avait poussé le vice jusqu’à construire sa carrière professionnelle en plein cœur du monde moldu… Une hérésie que Miach ne pouvait concevoir. Et puis, Joshua n’avait jamais su lui tenir tête, il savait avant même d’ouvrir la bouche que la bataille était gagnée d’avance. C’était presque trop facile, à vrai dire. Mais cette facilité était réconfortante. Pour une fois, Miach n’avait pas à se battre. Il n’avait pas de preuve à faire. Il n’avait qu’à ouvrir la bouche, et Joshua baissait les yeux, acceptant son sort, sans broncher. Lui qui avait passé sa vie à travailler dur pour prouver à sa famille entière qu’il avait les épaules, qu’il était le bon choix, que le rôle d’héritier lui convenait parfaitement, pour une fois, il pouvait asseoir son pouvoir sans difficulté, sans complication, sans justification.
« laisse moi passer, s'il-te-plaît. » supplia presque Joshua.
Les traits de Miach se tordirent en un rictus malfaisant et il dégaina sa baguette magique.
« Et moi, je dis que c’est toi, qui n’es pas capable de regarder devant toi quand tu marches … » répondit-il en avançant encore d’un pas.
Il n’avait nulle intention de laisser fuir sa petite souris. Au lieu de ça, il leva sa baguette jusqu’au menton du Poufsouffle et en fit glisser le bout le long de sa mâchoire.
« Je te conseille de t’excuser, sur le champ …, ordonna-t-il, sans se départir de son ton menaçant. A moins que tu ne préfères sortir ta baguette magique ? Histoire qu’on voit si, malgré ton sang souillé, tu es un véritable sorcier. »
Ses lèvres se retroussèrent en un sourire carnassier. Il savait que Joshua n’oserait pas. Il savait que sa baguette resterait bien à l’abri dans sa poche. Il savait que Joshua finirait par baisser les yeux et marmonner de plates excuses. Et, en même temps, l’idée d’un duel avec le poufsouffle était particulièrement tentante. Il ne doutait pas de sa victoire, et n’y voyait qu’une occasion de plus d’humilier et de rabaisser son camarade.
“Weakness” - Tes défaites ne viendront pas de plus forts que toi. Elles te seront infligées par le patient, le bûcheur, le médiocre.
hogwarts ID : hufflepuff, maison des gentils et des fidèles. -- sixième année, plus que deux ans. points : 1598 messages : 252 faceclaim : loïc nottet. multicomptes : n. greengrass. crédits : ava : aftermath, icon : me, sign : soldier eyes.
Jeu 16 Juil - 14:07
( weakness )
je ne sais pas pourquoi j'étais devenu le mouton noir, celui qui sort étrangement du lot et qu'on se plait à battre. à rappeler la différence, à rappeler combien tu es insignifiant... le suis-je réellement ? la confiance était quelque chose de biaiser chez moi, je détestais autant me regarder dans un miroir que de parler de moi. j'étais complètement incapable de m'opposer à qui que ce soit. de toute façon, à quoi cela servirait-il ? ils me regarderaient tous étrangement... riraient de moi. et à raison. si un jour, je devais lever la voix ou faire preuve d'une répartie qui cloue les becs, je pense que l'on pourrait simplement rire. jamais je ne serais pris au sérieux... jamais je n'arriverai... à me prendre au sérieux. si je n'ai pas confiance en moi, personne ne pourra. et c'est à cause de personne comme miach que ce phénomène est durable. à cause de lui que je longe les murs, que je baisse les yeux, que je n'ose dire ce que je pense. et cette vaine tentative de lui faire entendre raison... pourquoi ? pourquoi j'essaye ? pourquoi au fond de moi cette voix gronde à la révolte ? et surtout, pourquoi je n'arrive pas à extérioriser mes peines et mes angoisses ? il serait simple pourtant de lever les yeux, l'affronter et lui dire que c'est terminé. qu'on arrête ici cette mascarade, que les mesquineries n'ont plus de pouvoir sur moi et que jouer au duel dans les couloirs coûtera plus de points à sa maison que l'honneur qu'il tente, tant bien que mal, de sauver. je peux briser ce silence...
un mot, joshua. il suffit d'un mot.
la baguette dégainé, le rictus qui donne étrangement la nausée. de tous les types, c'est bien lui que je peux le plus détester. il est pas le seul à me faire du mal, pas le seul à dire du mal... pas le seul à salir mon nom et mon sang. mais il est le seul qui s'acharne avec autant de haine sur moi. et mon cœur se serre chaque fois que j'ai à le croiser. il a instauré un climat de terreur, me réduit au silence. et malgré moi, je recule d'un pas pour que la baguette s'éloigne alors que ça ne sert fondamentalement à rien. c'est qu'un réflexe. une tentative désespérée de fuir. mais où ? et pour la première fois depuis notre échange, je lève les yeux pour les plonger dans les siens, un bref instant. c'est fou comme la colère peut tonner comme une tempête, comme la haine et le dégout semblent le submerger... suis-je à ce point abjecte ? « je n'ai pas envie de me battre... » et si le mal le remportait sur le bien. mais puis-je seulement me considérer comme quelqu'un de bien et lui de mauvais ? étais-je vraiment sur son chemin ?
mes bras resserrent leur prise sur les livres que je plaque contre ma poitrine, comme un bouclier. il fallait toujours que je me retrouve dans ce genre de situation. c'est là que lexie et lola me manquaient le plus... parce qu'il n'aurait rien tenter avec quelqu'un qui lui tiendrait tête. et je m'en veux de devoir me cacher dans leur ombre... de ne pas réussir à m'affirmer comme ils cherchent tous à m'apprendre. callum me le répète suffisamment, mais rien n'y fait, la peur me paralyse et je n'ai pas assez de motivation pour lui renvoyer merlin dans les dents. au pris d'un effort surhumain, je baisse les yeux, fixe un point sur le sol, le teint pâle. le voile qui vient traverser mon regard, cette pitié qui me bouffe autant qu'elle le satisfait. « je... je suis désolé. » les paupières se closent un bref instant, je me déteste tellement. je suis si faible. si pathétique.
une seule chance dans ce malheur, c'est qu'il n'y avait plus de spectateur. le silence seulement... et parfois je me demandais pourquoi est-ce que justice ne se faisait pas ? pourquoi, nous, créatures incapables de méchanceté, devions subir la colère de ceux qui ne se trouvaient frustrés. les sourcils qui se froncent légèrement, quand malgré moi, ces malheureux mots sortent d'entre mes lèvres. « pourquoi tu fais ça ? » je me mords les lèvres, regrette aussitôt. mais c'est trop tard. c'est beaucoup trop tard pour faire marche arrière. « pourquoi tu es si méchant ? »
« Je n’ai pas envie de me battre » souffla Joshua.
Il avait reculé d’un pas, s’éloignant de la menace de la baguette. Ses yeux avaient quitté le sol pour se porter sur le visage de Miach. Le serpentard s’attendait à y lire la terreur et la peur, celles-là même qui suintaient du corps de Joshua. Pourtant, il y lu autre chose, quelque chose qui avait chassé la peur … il pouvait y lire la haine. Miach eu un nouveau rictus. Si Joshua avait eu la moindre once de courage, s’il avait osé laisser exploser cette rage qui brûlait dans son regard, peut-être aurait-il pu prendre le dessus. Mais, de toute évidence, il préférait garder ces émotions dévastatrices au fond de lui. C’était très bien ainsi.
Miach crevait d’envie de lancer le sortilège, de voir jusqu’à quel point il pouvait pousser la terreur de Joshua, voir jusqu’à quel point il pouvait se sentir puissant et fort. Car c’était bien de cela qu’il s’agissait. On avait tant répété à Miach qu’il valait mieux que tous ces sangs-de-bourbes et traitres à leur sang, qu’il était meilleur que chacun d’entre eux … Il avait simplement besoin de constater cette vérité, de prouver au monde entier qu’il était bien un Ogden, qu’il était supérieur, qu’il méritait son nom et, désormais, son titre d’héritier.
« Je … je suis désolé » capitula finalement Joshua.
Miach ne baissa pas sa baguette, s’approcha à nouveau, réduisant la distance que Joshua avait voulu imposer.
« Et bien voilà … tu vois, ça n’avait rien de compliqué. » répondit-il à voix basse.
C’était trop simple … A dire vrai, c’était presque devenu lassant. Chacune de leurs altercations se soldaient ainsi. Joshua pliait l’échine, laissait les insultes couler, attendait que Miach en ait fini avec lui.
Pourtant, cette fois-ci, Joshua ne conserva pas le silence comme il en avait l’habitude.
« Pourquoi tu fais ça ? »
Miach leva les sourcils, surpris par la soudaine audace du Poufsouffle.
« Pourquoi tu es si méchant ? » Poursuivit Joshua, d’une voix faible.
Miach ne se laissa pas déstabiliser par la question. Des réponses, il y en aurait eu des dizaines à apporter et sans doute un psychomage aurait adoré se pencher sur la question. Miach n’envisageait nullement se lancer dans une introspection.
« Je ne suis pas méchant, répliqua-t-il sèchement. Je t’enseigne les bonnes manières. »
Le ton était froid et sans appel, la baguette n’était toujours pas baissée, la haine voilait toujours le regard.
« Tu devrais me remercier pour cela. Je comprends, ta mère n’a surement pas pu t’offrir les bases d’une bonne éducation. Je suppose que, chez les moldus, la politesse n’est pas primordiale. Mais sache que chez les vrais sorciers, le manque de respect est intolérable. »
Le pire était sans doute que Miach croyait à son petit speech. Oui, il voyait les moldus comme de rustres créatures, peu habitués aux convenances sociales. Oui, il estimait que les sorciers inférieurs devaient le respect aux sangs-purs. Oui, il était persuadé être dans son bon droit en malmenant Joshua.
« Tu ferais bien de ne pas l’oublier, poursuivit-il, heureux que Joshua lui ait donné une raison de l’insulter. Les sorciers comme toi finissent par travailler pour des sorciers comme moi … tu devrais commencer à prendre l’habitude de respecter tes supérieurs. »
Egalement, il restait persuadé que les sorciers de sangs-purs gravitaient nécessairement en haut de l’échelle sociale, et n’imaginait pas un seul instant la possibilité que Joshua puisse un jour s’élever dans la société sorcière. Le pouvoir, l’argent, le respect et la notoriété étaient entre les mains des sangs-purs, lui avait-on répété au fil des ans. Miach n’aurait remis cette vérité en cause pour rien au monde.
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Mer 17 Juin - 14:43
Mouette / Icon : tumblr / Citation : Trevanian / 
