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 situation -- double trouble.

 
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Galatea Diggory
Galatea Diggory
points : 1576
messages : 32
faceclaim : charlotte rampling.
crédits : avatar (c) doom days.
MessageSam 16 Mai - 17:28
situation — double trouble
les potions, c'est pas ton fort. tu essaie désespérément de faire ton devoir, où tu dois concocter une certaine potion, mais tu y arrives pas. des heures que tu es là, et tu viens tout juste de faire un énorme trou dans ton chaudron. ta potion est à deux doigts de l'explosion, et toi aussi. cependant, quelqu'un qui te croise vient à ta rescousse, pour te donner un coup de main et éviter le pire.
précisions -- le rp se déroule dans la salle des potions, entre les cours. kate avait proposé d'être celle qui faisait rater sa potion, et louise venir à son secours.

Si vous désirez créer un sujet de discussion rp pour mieux parler de votre situation et vous organiser, n'hésitez pas ! Vous pouvez le faire
juste là.  situation -- double trouble. 1221519259
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MessageJeu 21 Mai - 8:08


Double Trouble


Kate était affammée. L’heure du déjeuner était venue, et quasiment passée. Kate n’avait rien mangé. Elle était seule dans la salle de potions, face à son chaudron. Sa potion d’un blanc épais produisait de nauséabondes volutes jaunes. On était encore loin du résultat.

Le matin-même, pendant le cours de potions, le Pr Delbero leur avait donné les instructions pour faire un Philtre de Paix. Une potion fréquemment demandée aux BUSEs, leur avait-il précisé, et Kate avait senti son stress monter d’un cran. Au fil du cours, elle avait manqué pas moins de 3 ingrédients, et inversé l’ordre de deux autres. Elle n’avait même pas fini le Philtre en fin de compte. Aucun de ses camarades n’avait été surpris. Kate parvenait rarement à finir ses potions, et si elle les finissait, elles n’étaient jamais réussi. Il lui fallait généralement de trois à quatre essais. Aussi avait-elle demandé au Pr. Delbero si elle pouvait rester dans la salle après le cours pour essayer à nouveau.

Kate venait donc de finir son deuxième essai, sans grande réussite. Eteignant son feu, elle parcouru de nouveau les instructions pour tenter de voir où elle s’était trompé. Elle avait déjà entouré ses erreurs du premier essai. Son ventre grondait et ses yeux étaient fatigués. A la deuxième lecture, Kate s’aperçu qu’elle n’avait oublié aucun ingrédient, mais s’était trompée dans leur préparation, et de nouveau, l’ordre. Elle avait coupé ce qu’il fallait écraser, et mis des ingrédients entiers là où il n’en fallait que le jus. Elle marqua donc clairement l’ordre des instruction avec des gros chiffres, et souligna les préparations.

« Evanesco. » Son échec disparu, ne laissant qu’un chaudron vide et propre. Il lui fallait à présent faire un choix. Il lui restait tout juste assez de temps pour un dernier essai avant le cours d’Histoire de la Magie, mais elle alors ne mangerait pas. Ses ingrédients n’étaient pas non plus illimités. S’il elle essayait de nouveau, elle ne devrait alors pas tarder à refaire une commande au Chemin de Traverse. Kate soupira, à deux doigts d’abandonner. Puis elle se rappela ce que le Pr Delbero avait dit : cette potion était souvent demandées aux BUSEs… Il fallait qu’elle réussisse à la faire. Elle en était capable.

De nouveau, Kate pesa et prépara ses ingrédients, surveillant le feu, comptant les tours de baguette et le sens de leur rotation, prêtant attention aux erreurs qu’elle ne devait pas refaire. Elle était plutôt bien partie. Elle commençait à prendre confiance en elle. Arrivée à la moitié des instructions, Kate déposa dans sa potion ses scarabées soigneusement réduits en poudre, tout en lisant l’instruction suivante deux fois pour être sûre de ne rien oublier. Un sifflement inquiétant se fit alors entendre.

Kate chercha autour d’elle et mit quelques secondes à comprendre qu’il venait de sa potion. De son chaudron très exactement. Le fond laissait échapper un fin filet de vapeur, et un sifflement de plus en plus strident. Comment ? Elle n’en savait rien. Pourquoi ? Elle l’ignorait tout autant. Mais surtout, elle n’avait pas la moindre idée de ralentir le processus. Elle baissa son feu, rien n’y fit. Elle l’éteignit carrément, ruinant définitivement sa potion. Le métal du chaudron se mit à briller d’une lueur rouge, de plus en plus claire. Il fondait.

« J’y crois pas ! » s’écria Kate au bords des larmes et de la crise de nerfs, cherchant autour d’elle un moyen, une idée pour éviter la catastrophe, sans en trouver.

@Louise Dio

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Invité
MessageVen 22 Mai - 14:55
Est-ce pour faire fondre vos appréhensions ou vos espoirs que vous vous terrez ici-bas ?

Il y avait un art pour tout. L'art de raconter des histoires, l'art d'enseigner, l'art des potions. C'était sa conception de la vie. Tout était un art, il ne tenait qu'à soi d'élever ses manières à ce niveau-là. Elle, avait l'art de jouer avec les mots, de savoir se faire respecter, de surprendre ses contemporains, de paraitre vulnérable, de paraître dure pour être juste, d'être dure pour cacher son empathie, de se sacrifier pour sa famille. N'avait-elle pas troquer une vie épanouie et naïve pour les Dio ? Un mariage contre le pouvoir. Des enfants pour l'influence. Quand le bonheur est hors de portée, tout est bon à prendre. Le bonheur n'avait jamais été son idéal de vie de toute manière.

L'art d'être raisonnable.

Celui-ci, elle le pratiquait, l'enseignait, autant qu'elle le détestait. Louise n'avait jamais été une femme raisonnable en son coeur, autrement, elle n'aurait pas fuit le château à l'heure de déjeuner pour aller La voir. Blonde, ses cheveux courts n'avaient cessés de la chatouiller, ses pâles lèvres roses n'avaient pas cessés de sourire, et son regard d'un bleu presque translucide semblait la transpercer. Elle avait ces pommettes qui donnent envie de les croquer, des doigts qui ne cessaient de trahir sa sensibilité, sa timidité. Et puis, il y avait les mots qu'elle avait écrit. Au diable les charmes, le jeu de séduction, les joutes verbales. Et maintenant qu'elle avait franchit le pas, une étrange lassitude rendait amer sa propre satisfaction, comme si elle venait de se réveiller d'un rêve très agréable mais qui semblait beaucoup trop flou pour être réel et regrettait de s'en être éveillée. Elle s’accommodait, cependant, de son propre sens des responsabilités qui avait été écorché par son attitude frivole de jeune adolescente peu digne de la directrice de maison qu'elle était.

Voilà qui expliquait sa présence ici-bas, dans les cachots, alors que son cours d'Histoire de la Magie avec les cinquièmes années ne tarderait pas à commencer. Elle avait des affaires à récupérer pour mener ce cours à bien, car il n'était pas de son goût d'emmener ses propres notes à un rendez-vous amoureux. Le pas ferme, la Dio traversait donc les cachots, sa robe noire s'enroulant et se déroulant sur ses jambes, son chignon bas refait rigoureusement, ses boucles noires et argentés effleurant sa nuque à chaque mouvement de tête ou d'épaules, ses bottines noires claquant sur le pavé glacial, la menant vers son bureau qu'elle avait souhaité au sous-sol pour être proche de ses p'tits protégés.

Mais le silence des cachots, elle n'était pas la seule à le rompre, non. Il y avait ces petits bruits en fond sonore, comme une sorte de ronronnement qui s'intensifiait à mesure qu'elle avançait, puis il semblait s'éteindre, laissant la place à un sifflement sonore qui s'accompagna de lamentations désespérées. Se dirigeant au bruit, Louise se pressa en comprenant que ces bruits venaient de la salle de potion. A moins que Delbero soit en pleine expérience, il se passait quelque chose d'anormal. La porte entrouverte de la salle de classe confirma son intuition et sans prévenir ou ralentir, elle la poussa pour pénétrer les lieux.

Le sifflement était presque insupportable, Louise luttait pour ne pas se plaquer les mains contre les oreilles tellement il devait douloureux. Son regard glissa sur l'étudiante, seule en ces lieux, pour tomber sur le chaudron qui était indiscutablement la source du bruit. Voyant les vapeurs qui s'en dégageait, Louise saisit la jeune adolescente par le bras, la repoussant sans ménagement tout en sortant sa baguette, faisant disparaître le contenu du chaudron avant de se pencher pour examiner les dégâts. Faire fondre un chaudron avec un philtre de paix...  Louise voyait le renfoncement que le mélange avait produit et quand elle le souleva, elle vit des gouttes d'étain tomber dans les cendres du feu à peine éteint. Foutu. Le sifflement se poursuivait, mais beaucoup moins puissant, comme s'il perdait peu à peu de sa puissance, mais le mal était fait, la mixture -quoi que cela était devenu- avait déjà attaqué le métal, il n'était assurément plus utilisable.

Louise ~ Que de surprises vous nous réservez, miss Hawkins, commenta-t-elle en observant les dégâts avant de tourner le dos au malheureux chaudron, pour observer la Gryffondor. ... Bien que j'ose espérer qu'endommager définitivement votre chaudron à l'aide d'un philtre de paix trafiqué n'était pas votre objectif de base, n'est-il pas ?
par non uccidere.
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Invité
MessageSam 30 Mai - 12:45


Double Trouble


Baguette à la main, Kate cherchait désespérément dans son cerveau un sort qui pourrait arrêter la catastrophe… mais rien ne lui venait. Elle était si stupide ! Ce n’était rien de plus que la sélection naturelle, vraiment ! Elle méritait de mourir par sa propre potion ratée. Le sifflement devenait insupportable. Kate ferma les yeux, se mit les mains sur les oreilles, attendant la déflagration. Elle pouvait déjà lire les mots sur la lettre que la Directrice Diggory enverrait à ses parents.

« Mr et Me Hawkins,
Nous avons le regret de vous apprendre... »


Quelqu’un la poussa sans ménagement, il y eu un bruit de bourrasque distinctif d’un sort qui est lancé, et le sifflement se mit à distinctement diminuer. Kate ôta ses mains de ses oreilles et tourna les yeux vers son sauveur, en se demandant s’il s’agissait du Pr. Delbero ou peut-être d’un préfet. Son cœur se pinça lorsqu’elle reconnu la silhouette élégante de sa professeure d’Histoire de la Magie, Pr Dio. Derrière elle, le fond de son chaudron se décomposait, goutte à goutte… Voilà qui n’allait pas l’aider à réviser pour ses B.U.S.E.s

A l’interrogation du Pr Dio, Kate secoua lentement la tête, confirmant qu’elle ne l’avait pas fait exprès. Ce n’était qu’un accident… un de plus. Les yeux de la jeune gryffondor étaient toujours brillants de larmes retenues. Elle n’osait pas regarder son enseignante dans les yeux.

Kate avait toujours su se débrouiller à peu près en Histoire de la Magie. C’était la seule matière où elle n’échouait pas constamment. A présent, même la Pr Dio allait la prendre pour une incapable. La seule qui l’avait toujours soutenue et même parfois, estimée… En même temps, Kate ne réussissait jamais dans les autres matières. Le Pr. Dio avait du entendre parler de ses exploits, les professeurs se parlaient entre eux, pas vrai ? Elle avait du s’y attendre. Sans doute était-elle seulement surprise que cela ait pris 5 ans.

Evitant soigneusement son regard, Kate fixait la ruine qu’était devenu son chaudron. Un « reparo » lui traversa l’esprit, mais avec sa chance, elle risquait d’y remettre le feu par accident. Non, mieux valait en commander un autre au Chemin de Traverse. Elle devrait demander de l’argent à ses parents. Qui devraient aller faire le change à Gringotts, à Londres. Elle n’aurait sûrement pas son nouveau chaudron avant Pâcques. Peut-être l’école accepterait de lui en prêter un ? Avec une énorme caution ?

« La Directrice Diggory ferait tout aussi bien de me renvoyer. » admit-elle, pensant à haute voix. « Je n’ai aucune chance d’avoir mes B.U.S.E.s » Une des larmes si difficilement contenu parvint à s’échapper et dévala une de ses joues roses. Kate se demanda si les élèves pouvaient démissioner ?


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MessageMar 2 Juin - 15:02
Est-ce pour faire fondre vos appréhensions ou vos espoirs que vous vous terrez ici-bas ?

Les yeux brillants de larmes de la jeune Gryffondor provoquèrent des sentiments différents et contradictoires chez la Dio. Il y avait un semblant de compassion, qu'elle avait appris depuis longtemps à taire, tel que cela ne ressemblait qu'à un bourdonnement de fond. Elle avait l'air tellement pathétique que c'en était triste. Mais la compassion était tellement plus faible que l'agacement. Celle produit par la médiocrité. L’apitoiement et les discours auto-flagellateur lui donnait davantage envie d'offrir une corde à son interlocuteur pour qu'il aille se pendre que de lui offrir de la compassion, malheureusement. Il y avait aussi cette résignation. A l'approche des BUSE, nombre d'élèves finissaient par craquer, ce n'était pas anormal, c'était même courant, le stress n'était pas facile à gérer pour tout le monde. Miss Hawkins n'était pas la première et ne serait certainement pas la dernière dans ce cas.

Le défaitisme de la Hawkins l'acheva. S'il y avait bien une chose qui l'insupportait, c'était l'abandon. Si les Serpentard étaient connus pour leur lâcheté, ils l'étaient aussi pour leur détermination. Louise était bien placée pour savoir qu'avec de la discipline et du travail, tout était possible, la seule variable étant le temps qu'on mettait pour y parvenir. Relevant psychologiquement ses manches, la sorcière décida qu'elle ne pouvait pas laisser la gryffondor dans cet état. Ce n'était pas son genre de remonter le moral d'autrui -elle était assurément plus douée pour le détruire- et elle n'avait aucune intention de s'y employer. Elle laissait le rôle de réconfort à ses camarades. Elle, elle était enseignante et en cette qualité, elle allait enseigner. Ses pensées s'égarèrent une seconde vers son collègue, le Pr Delbero, mais elle le chassa rapidement. Cela lui était égal qu'il lui en veuille d'aider une de ses élèves en faisant son boulot à sa place, dans le cas hypothétique où il en aurait vent.

L'oeil sévère, Louise toisa la jeune fille sans cruauté, une main sur la hanche. Sa voix était particulièrement ferme mais sans gravité quand elle s'éleva, sans appel, sa langue claqua :

Louise ~ S'appitoyer sur son sort est une magie bien inefficace, Miss Hawkins, je crains qu'il n'est jamais mené à la moindre progression d'aucune sorte. commenta-t-elle avant de détourner le regard vers le chaudron qui était fichu. Seul le travail peut remédier à vos échecs. Que diriez-vous de vous débarrasser de ce qui fut votre chaudron et de travailler à une table vide de toutes saletés et présents que des ingrédients et instruments nécessaires à l'élaboration d'un philtre de paix ? Si vous n'y voyez nul inconvénient, je m'en vais quérir mon chaudron, et nous allons nous hâter de vous faire faire une fiole de ce mixture délicate.

Sans attendre de réponses, Louise avait déjà fait demi-tour, se pressant de rejoindre son bureau pour récupérer le matériel nécessaire. Son propre cours d'Histoire de la Magie avec les cinquième année commençait d'ici peu et elle enorgueillissait de ne jamais avoir eu le moindre retard. Elle ne comptait pas commencer maintenant. Vite et bien étaient les maîtres-mots des prochaines minutes.

par non uccidere.
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